Les salmoniculteurs canadiens nourrissent les familles canadiennes.
Cédant à la pression des activistes, les gouvernements ont mis fin à 40 % de la production moderne et durable de saumon d’élevage en mer en Colombie-Britannique. En conséquence, les prix du saumon ont augmenté de plus de 20 % dans de nombreux endroits. En raison des fermetures de fermes en Colombie-Britannique, le saumon que les Canadiens et Canadiennes trouvent sur leurs étagères provient de plus en plus d’autres pays.
La ministre des Pêches, Joyce Murray, continue de faire pression pour décimer l’industrie de l’aquaculture du saumon en Colombie-Britannique. Elle ne tient pas compte des études scientifiques du ministère des Pêches et des Océans, qui n’ont établi aucun lien entre l'élevage du saumon et l'évolution du nombre de saumons sauvages du Pacifique.
Les gestes de Joyce Murray mettent également en péril des milliers d’emplois liés à l’aquaculture du saumon dans les collectivités rurales, côtières et autochtones de la Colombie-Britannique, éliminant ainsi les possibilités économiques de nombreuses familles.
Faites savoir au Premier ministre Trudeau, à la ministre Murray et au gouvernement du Canada que vous avez besoin d’une alimentation abordable pour votre famille et que vous soutenez les collectivités rurales, côtières et autochtones du Canada. Dites au gouvernement libéral d’Ottawa de cesser de fermer les fermes d’élevage de saumon de la Colombie-Britannique.
Arrêtez de fermer les fermes d’élevage de saumon en C.-B.
Merci de votre soutien, et veuillez transmettre ce message à votre réseau.
VOICI LES FAITS…
- Le Canada est le quatrième producteur mondial de saumon d’élevage. De plus, 97 % du saumon pêché au Canada provient d’élevages modernes et durables en mer.
- Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, l’aquaculture devra répondre aux deux tiers des besoins mondiaux en matière de produits de la mer d’ici 2030. Sans l’apport de l’aquaculture, la planète souffrira d’ici 2030 d’une pénurie de produits de la mer de l’ordre de 50 à 80 millions de tonnes. La pêche sauvage ne peut pas – et ne doit pas – répondre à la demande.
- Nos activités de salmoniculture et de transformation du poisson ont généré une activité économique évaluée à 3,6 milliards de dollars et des emplois à temps plein pour 14 500 Canadiens et Canadiennes dont les salaires sont estimés à 854 millions de dollars en 2018-19.
- Les travaux scientifiques du ministère des Pêches et des Océans du Canada, évalués par des pairs, n’ont établi aucun lien entre la salmoniculture et l’épuisement des stocks de saumon sauvage du Pacifique. Le changement climatique, la pollution, et la perte d’habitat sont en cause – et NON l’aquaculture.
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