Engagements

Les salmoniculteurs du Canada sont fermement résolus à rester les chefs de file mondiaux de la production durable de saumon d’élevage, afin d’offrir aux Canadiens et au reste du monde des aliments sécuritaires, fiables et sains ayant une faible empreinte carbone.

Les salmoniculteurs du Canada ont entrepris en 2021 des discussions visant à prendre une série d’engagements nationaux et ont constitué un conseil consultatif externe; ce dernier avait pour mandat de donner des avis éclairés ainsi qu’une rétroaction sur la prise d’engagements dans l’ensemble de l’industrie sur la salmoniculture. Ce comité est formé de personnes ayant des connaissances et un savoir-faire diversifiés, représentant les parties prenantes et les détenteurs de droits des Côtes Est et Ouest.

Beaucoup de chemin a été parcouru depuis que nous avons produit le premier saumon d’élevage au Canada. Aujourd’hui, le secteur de la salmoniculture soutient des emplois, principalement dans des collectivités côtières et autochtones du Canada. C’est un secteur d’activité qui se fonde sur la science, sur des technologies de pointe, dans le but de produire une source de protéines saines qui ont une faible empreinte carbone.

Ces engagements soutiennent les valeurs solides que partagent l’ensemble des Canadiens. À l’instar des membres de l’Alliance de l’industrie canadienne de l’aquaculture (AICA), tous les grands salmoniculteurs du Canada, ont accepté ces engagements; ils vont également continuer à travailler de concert les uns avec les autres afin d’exercer un suivi sur nos progrès. Notre objectif est de remplir intégralement ces engagements d’ici 2032 ou avant, et de rendre chaque année des comptes de manière transparente sur les progrès réalisés.

Les pratiques de salmoniculture vont continuer à s’améliorer, afin de répondre à la demande de plus en plus grande pour des aliments nourrissants dont la production est respectueuse de l’environnement. Nous sommes fermement résolus à devenir les meilleurs producteurs de saumon d’élevage du monde.



timothy j kennedy

Timothy Kennedy

Président et chef de la direction
Alliance de l’industrie canadienne de l’aquaculture

 

Télécharger le rapport de développement durable 2024

https://assets.nationbuilder.com/lovesalmon/pages/86/attachments/original/1731359386/CAIA_Sustainability_Cover_FR.png?1731359386

Télécharger les points saillants de notre rapport de développement durable

CAIA_Highlights_Cover_FR.png

Télécharger le bulletin d'évaluation de développement durable

https://assets.nationbuilder.com/lovesalmon/pages/86/attachments/original/1731371366/CAIA_Highlights_Cover_FR.png?1731371366

Télécharger la brochure sur nos engagements nationaux

Commitments_Cover_fr

 

Commitments List Image 1

Santé du poisson

La santé et le bien-être du saumon d’élevage et du saumon sauvage sont des priorités absolues. Nous sommes fermement résolus à avoir recours à des pratiques de gestion exemplaires et aux meilleures technologies favorisant le bien-être du saumon d’élevage. Nous allons aussi continuer à conclure divers partenariats, à prendre des mesures et des initiatives qui soutiennent la gestion du saumon sauvage, la restauration de son habitat et les efforts destinés à le protéger.

Découvrez ce que l’industrie réalise déjà dans ce domaine

Actions et objectifs
Le contexte
  • Adhérer au Code de pratiques pour le soin et la manipulation des salmonidés d’élevage

    Le Code de pratiques pour le soin et la manipulation des salmonidés d’élevage (saumons, truites, ombles) a été publié en 2021. En tant que premier code consacré au bien-être du poisson de l’histoire du Canada, cet ouvrage propose des indices de référence relatifs à la santé animale ainsi que des indicateurs de bien-être. Les limites quant à la densité ou le nombre de poissons dans un espace donné (dans des cages en filet et dans les systèmes de pisciculture sur terre), les exigences relatives à la manipulation des poissons ainsi que les stratégies de contrôle des prédateurs sont quelques exemples des domaines visés par ce code. Pour accéder à la version intégrale du Code, cliquez ici. cliquez ici.

  • Viser un taux de survie de 90 % du poisson d’élevage dans les fermes marines

    Dans la nature, les prédateurs naturels, la maladie et les facteurs environnementaux ont tous une incidence sur les taux de survie des poissons; tous ces facteurs contribuent aux faibles taux de survie. Dans les fermes, où la santé et la sécurité des poissons constituent la pierre angulaire de la réussite des activités, les taux de survie sont beaucoup plus élevés. Bien que les salmoniculteurs, qu’ils aient des fermes terrestres ou marines, déploient beaucoup d’efforts pour que l’ensemble de leur production puisse se rendre sur le marché, il existe dans les fermes des facteurs similaires à ceux qui existent dans la nature (c.-à-d. la prédation, les changements climatiques, etc.) qui entraînent des mortalités. C’est aussi le cas dans les pratiques agricoles en général, où l’on prévoit des mortalités.

  • Réduction continuel de l’utilisation d’antibiotiques

    L’utilisation de vaccins et l’amélioration des pratiques en matière de la santé ont permis de réduire considérablement le recours aux antibiotiques dans les fermes salmonicoles au cours des dernières décennies. Afin de prévenir la maladie, on élève les saumons dans un environnement sain, qui limite le stress et réduit leur susceptibilité aux pathogènes et aux parasites. Les poissons sont aussi vaccinés à titre préventif — des vétérinaires brevetés effectuent aussi des tests diagnostiques et examinent régulièrement les poissons, afin de s’assurer qu’ils sont en bonne santé. Si l’on détecte la présence sur une ferme de bactéries causant des maladies, seuls des antibiotiques prescrits par un vétérinaire et autorisé par Santé Canada peuvent être administrés.

  • Respect de la réglementation et des protocoles relatifs aux poux de mer, y compris les stratégies de lutte intégrée contre les nuisibles

    Les poux de mer sont des parasites naturellement présents dans les océans. Tous les saumoneaux (jeunes saumons d’élevage) commencent leur vie dans des installations d’écloserie terrestres et n’ont pas de poux de mer lorsqu’ils entrent dans l’environnement marin. Une fois dans l’environnement marin, les saumons sont sensibles à ces parasites, qui peuvent circuler librement dans les courants océaniques ou qui sont naturellement présents sur les poissons sauvages. Tous les salmoniculteurs du Canada disposent de plans de gestion des parasites prévoyant le recours à diverses mesures préventives ou thérapeutiques. Les cibles et les seuils relatifs aux poux de mer varient selon les régions et selon le régime de réglementation.

  • Atteindre l’objectif de zéro échappement annuellement

    Minimiser les interactions entre les saumons d’élevage et le milieu environnant constitue l’un des moyens d’éviter les interactions potentielles avec des saumons sauvages et l’écosystème. De rares lacunes dans l’infrastructures des fermes, comme des filets déchirés ou des erreurs humaines, ont permis à des saumons de s’échapper et de se retrouver dans l’océan. Gràce à l’amélioration constante de la technologie et à l’adoption de mesures de protection additionnelles, le nombre d’évasions de poissons a été réduit de manière importante (p. ex. : en 2020, en Colombie-Britannique, le nombre d’évasions a diminué de 82 % par rapport à une moyenne historique de 10 ans, selon la British Columbia Salmon Farmers Association (BCSFA).

  • Collaborer avec les Premières Nations, avec les gouvernements et avec des partenaires, afin d’approfondir notre compréhension de l’environnement marin et d’introduire de nouvelles technologies et d’adopter de nouvelles approches en matière d’élevage, qui minimisent les interactions avec les poissons sauvages et qui maintiennent un écosystème sain

    Bien que de nombreuses études scientifiques démontrent que les fermes salmonicoles ont peu d’incidence sur les populations de saumon sauvage, une meilleure compréhension des dynamiques des écosystèmes marins va contribuer à l’élaboration de solutions qui réduisent davantage la transmission de maladies et de parasites, des poissons sauvages aux poissons d’élevage ou l’inverse.

  • Soutenir des projets locaux et des projets des Autochtones visant la gestion du saumon sauvage, le rétablissement de son habitat et la restauration des stocks, grâce à la recherche, au financement et à un appui non financier

    Pendant de nombreuses décennies, les populations de saumon sauvage ont été en déclin, et la salmoniculture résolvait en partie ce problème. On a identifié plusieurs facteurs déterminants ayant contribué à ce déclin, principalement attribuable à la surpêche, à l’urbanisation et à la destruction d’habitats ayant une importance cruciale, et aux changements climatiques. De nombreuses actions peuvent contribuer de manière significative au soutien du saumon sauvage, dont un bon nombre peuvent bénéficier de la mise en commun du savoir-faire et de l’expérience des salmoniculteurs.

Commitments List Image 2

Changements climatiques

Le saumon d’élevage a l’une des empreintes carbone les plus faibles parmi les protéines animales élevées à grande échelle, et nous savons que nous pouvons en faire davantage. Nous sommes engagés à continuer à diminuer nos émissions de carbone et à devenir plus résistants dans un environnement en évolution.

Découvrez ce que l’industrie réalise déjà dans ce domaine

Actions et objectifs
Le contexte
  • Soutenir l’engagement du Canada à devenir carboneutre, en réduisant les gaz à effet de serre de 35 % d’ici 2030

    Les principales sources d’énergie utilisées dans le secteur de la salmoniculture sont l’électricité, pour les écloseries terrestres, et le carburant, pour le transport maritime (transport du personnel en direction des fermes ou en provenance des fermes) et pour les génératrices, qui contribuent à l’alimentation en énergie des installations de pisciculture marine. Malgré la faible empreinte carbone du saumon d’élevage, nous cherchons à diminuer davantage les émissions de gaz à effet de serre (GES) grâce aux progrès technologiques dans des domaines comme les énergies renouvelables, la conjonction d’équipements électriques et les solutions durables d’électricité terrestre.

  • Continuer à développer et à adopter des technologies ainsi que des pratiques qui accroissent la capacité des producteurs à s’adapter à un climat changeant

    Les changements climatiques ont une incidence sur les secteurs de l’agriculture dans l’ensemble du pays, et la salmoniculture ne fait pas exception. Le réchauffement des eaux, l’intensité accrue des tempêtes et des phénomènes météorologiques, de même que les changements de salinité sont autant de facteurs contribuant aux changements de l’écologie environnante et à la prolifération de nombreuses espèces résidentes, y compris des parasites et des prédateurs potentiels. Les activités d’aquaculture marine sont dans une position favorable pour ce qui est d’accroître la surveillance des milieux environnants des emplacements des fermes et contribuent par conséquent à une meilleure compréhension et aux efforts d’atténuation dans la gestion des changements.

Commitments List Image 3

Alimentation durable

Nous soutenons l’innovation dans le domaine des aliments destinés aux poissons d’élevage; nous sommes fermement résolus à nous approvisionner en ingrédients durables sur le plan environnemental, qui offrent une nutrition de grande qualité à nos poissons.

Découvrez ce que l’industrie réalise déjà dans ce domaine

Actions et objectifs
Le contexte
  • Collaborer avec les producteurs d’alimentation, afin de nous assurer que la totalité de la farine et de l’huile de poisson entrant dans la nourriture de nos poissons provient de pêches bénéficiant de la certification pêche et aquaculture durable, respectant les recommandations de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

    La farine et l’huile de poisson sont des ingrédients nutritionnels importants dans la plupart des aliments commerciaux pour poissons, fournissant une quantité équilibrée d’acides amines essentiels, de phospholipides et d’acides gras. Il est essentiel de veiller à ce que la farine et l’huile de poisson soient récoltées et transformées de manière durable pour garantir la pérennité du secteur.

  • Soutenir le développement accéléré et l’adoption de sources d’ingrédients de rechange qui optimisent la santé des poissons, en accordant la priorité aux fournisseurs canadiens dans la mesure du possible

    Bien que la farine de poisson constitue le régime alimentaire le plus naturel pour le saumon d’élevage, des recherches et des développements importants visent actuellement le développement de protéines de rechange d’origine végétale pour les poissons. Compte tenu des pressions que subissent certaines populations de poissons sauvages (traditionnellement utilisées dans la fabrication de farine de poisson), la découverte d’une série de solutions de rechange viables maintenant une diète bien équilibrée et continuant à produire un produit final nutritif va contribuer à la durabilité générale du secteur.

Commitments List Image 4

Sécurité alimentaire

Le saumon d’élevage a un rôle clé à jouer pour aider à nourrir le Canada et le monde entier, au moment où les pêcheries de capture atteignent leurs limites. La croissance de la population mondiale et la demande de produits de la mer continuent à croître, créant une pression sur les stocks sauvages de tous les poissons. Nous nous engageons à fournir aux Canadiens et Canadiennes une source fiable et saine de saumon d’élevage pour aider les collectivités à aborder les incertitudes futures et à renforcer la sécurité alimentaire dans l’ensemble du pays.

Actions et objectifs
Le contexte
  • Éliminer les déchets en utilisant la totalité des produits, afin de soutenir une économie circulaire

    Une économie circulaire conserve et récupère le plus de valeur possible des ressources, afin de réduire ou d’éliminer le gaspillage. Dans le système alimentaire, cela implique la réduction de la détérioration et du gaspillage d’aliments, grâce à l’utilisation de sous-produits et au recyclage des résidus alimentaires et des nutriments. Un exemple d’économie circulaire est l’utilisation de la farine de poisson dans les aliments pour animaux de compagnie et dans les engrais organique.

  • Soutenir les entreprises et organismes qui assurent la sécurité alimentaire des Canadiens

    Selon Statistique Canada, près d'un Canadien sur quatre a déclaré avoir connu l’insécurité alimentaire au sein de son foyer en raison de contraintes financières.

Commitments List Image 5

Traçabilité des aliments

Le saumon d’élevage canadien est entièrement traçable, de l’œuf à l’assiette. Nous comprenons l’importance d’avoir en place des systèmes qui facilitent la tâche aux consommateurs qui veulent connaître la provenance de leurs aliments. Nous visons également à offrir une plus grande assurance quant à nos allégations relatives à la durabilité. Nous allons déployer des efforts afin de nous assurer que les consommateurs peuvent avoir plus facilement accès aux renseignements qu’ils souhaitent obtenir sur le saumon qu’ils consomment.

Actions et objectifs
Le contexte
  • Soutenir, au service du consommateur, le développement de systèmes de traçabilité du saumon d’élevage canadien

    La traçabilité des aliments est la capacité de suivre les mouvements d’un produit alimentaire et de ses ingrédients à chacune des étapes de la chaîne d’approvisionnement, en aval et en amont. La traçabilité implique la documentation et l’établissement des liens existant dans la chaîne de production, de transformation et de distribution des ingrédients et produits alimentaires. Tirer parti des systèmes de traçabilité numérique est une tendance émergente dans le secteur agroalimentaire dans le monde entier.

  • Poursuivre le travail en cours pour augmenter le niveau de sensibilisation à la traçabilité des ingrédients utilisés dans l’alimentation des poissons, en collaborant étroitement avec nos fournisseurs d’aliments

    La traçabilité des aliments pour animaux est la capacité de suivre le mouvement des aliments composés d’un seul ingrédient et des aliments mélangés. Il s’agit d’une exigence réglementaire de l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Les fabricants d’aliments pour animaux, les organismes de normalisation internationaux et les organisations d’agrémentation internationaux ont mis en place des systèmes améliorés pour accroître la transparence dans ce domaine.

Commitments List Image 6

Santé des océans

La santé des océans est essentielle à un élevage de saumon sain. Nous nous engageons à améliorer en permanence les pratiques d’élevage pour mieux protéger l’écosystème marin, y compris la santé des écosystèmes des fonds marins et lacustres (benthiques) sous nos élevages, et à empêcher les déchets plastiques et les débris de s’intégrer aux océans en raison de nos activités. Les résultats obtenus par rapport aux mesures et objectifs pertinents sont résumés ci-dessous.

Découvrez ce que l’industrie réalise déjà dans ce domaine

Actions et objectifs
Le contexte
  • Effectuer un suivi sur l’alimentation des poissons, en utilisant des caméras sous-marines ou l’équivalent

    Les capteurs des caméras sont dotés d’un logiciel permettant l’analyse en temps réel du bien-être des poissons et de leur biomasse. La suralimentation peut avoir des répercussions sur l’environnement, en raison de l’augmentation de l’empreinte de carbone des activités (étant donné que les déchets alimentaires ne contribuent pas à la récolte d’un produit), de la diminution de la croissance et des résultats obtenus avec les poissons et sur le milieu benthique, car le milieu récepteur doit absorber de plus grandes quantités de nutriments. L’optimisation de l’alimentation et la maximisation de l’indice de conversion alimentaire sont essentielles aux exploitations d’élevage.

  • Collaborer avec des partenaires, dans le but d’étudier et d’adopter de nouvelles technologies ainsi que des pratiques novatrices pour gérer les déchets produits par les poissons

    Dans toutes les exploitations aquacoles, des excréments de poisson (déchets organiques) sont exécrés dans les eaux environnantes et peuvent s’accumuler au fond de la mer ou du lac. Des réglementations gouvernementales fondées sur la science sont en vigueur pour veiller à ce que l’incidence des déchets organiques soit bien gérée et que les écosystèmes restent sains.

  • Soutenir l’aquaculture visant la restauration, la production de plusieurs espèces et/ou des occasions de coproduction dans les emplacements où il est possible de le faire

    Dans un rapport publié en novembre 2021, un groupe de travail formé d’experts, dirigé par The Nature Conservancy (TNC), a défini l’aquaculture restauratif en ces termes : [traduction] « on parle d’aquaculture restaurative lorsque l’aquaculture commerciale ou de subsistance offre des avantages écologiques à l’environnement, avec le potentiel de produire des résultats environnementaux positifs. » On peut consulter ici la version intégrale du rapport Global Principles of Restorative Aquaculture, - dans lequel figurent des renseignements sur l’ensemble des principes mondiaux. Le potentiel des activités restauratives, multitrophiques et/ou de coproduction est immense au Canada.

  • Nous assurer qu’aucun débris provenant de nos activités n’entre dans les eaux proches et qu’en cas d’accident, il soit remédié dans les meilleurs délais

    La US’ National Office Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) décrit les déchets marins en ces termes : [traduction] « Par “déchets marins”, on entend tout matériau solide persistant qui est fabriqué ou traité et directement ou indirectement jeté ou abandonné dans le milieu marin ou dans les Grands Lacs. » Pour ce qui du secteur de la salmoniculture, les déchets marins auraient trait à l’équipement, comme les filets, les outils, les flotteurs, les tuyaux, etc. qui peuvent, en cas d’accident, être répandus dans l’environnement marin. Pour de plus amples renseignements, cliquez ici pour consulter le site Web de la NOAA.

  • Collaborer avec les gouvernements, les fournisseurs et des partenaires internationaux dans le but d’utiliser des emballages 100 % réutilisables, recyclables ou biodégradables

    Les produits faits de polystyrène (communément connus sous le nom de la marque Styrofoam) constituent une forme courante d’emballages au sein de l’industrie alimentaire, y compris pour le saumon. En effet, dans le secteur de la salmoniculture, le produit est souvent expédié frais et est par conséquent périssable. Le polystyrène est léger, peu coûteux et imperméable; c’est aussi un bon isolant, ce qui en fait un produit idéal pour l’emballage des fruits de mer, qui doivent être conservés au frais et dans des conditions salubres. Toutefois, le polystyrène a des conséquences environnementales défavorables; on tend actuellement à éviter ce produit. Les États américains du Maryland, du Maine, du Vermont, de New York et du New Jersey ont tous adopté des lois interdisant le polystyrène, et d’autres États s’apprêtent à faire de même. Au Canada, l’interdiction des plastiques à usage unique décrétée par le gouvernement fédéral vise les contenants faits de polystyrène pour les aliments prêts à manger.

Commitments List Image 7

Reddition de comptes

La transparence crée un climat de confiance, renforce la responsabilisation et améliore les résultats. Nous sommes déterminés à travailler avec les organismes gouvernementaux et avec d’autres parties prenantes clés et détenteurs de droits, afin de fournir aux Canadiens, de manière facilement accessible et compréhensible, des renseignements sur notre salmoniculture.

Actions et objectifs
Le contexte
  • Rendre des comptes annuellement, de manière globale, sur les engagements de l’ensemble de l’industrie

    Le secteur canadien du saumon d’élevage a un système de reddition de comptes élaboré, grâce aux rapports annuels des entreprises (y compris les rapports établis en fonction des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance [ESG]), à la certification octroyée par des tierces parties et à la réglementation provinciale et fédérale. Les membres de l’industrie collaborent les uns avec les autres dans le but de consolider les résultats, afin d’offrir plus de transparence sur les progrès réalisés.

Ce projet a été financé par le Programme AgriAssurance du Partenariat canadien pour l’agriculture, qui est une initiative fédérale, provinciale et territoriale.